Wir trauern um

Pretterklieber Gottfried

* 10.05.2015

Ort: 9360 Friesach
Sonstiges:

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Kondolenzbuch Einträge:

Pretterklieber Gottfried


Kondolenzbuch

† 10.05.2015

Jorge:

Leibniz ne se propose pas ici de prveuor qu'il y a quelque chose, que le monde existe, qu'il s'agit le0 d'une re9alite9, et non d'un reave ou d'une illusion de nos sens. Il constate qu'il y a quelque chose. Il s'e9tonne et s'e9merveille en revanche qu'il en soit ainsi. Et il se demande comment il se fait qu'il en soit ainsi. Les modernes astro-physiciens s'interrogent de fae7on analogue concernant l'origine du monde et le big-bang. Le (?) rien, ou plutf4t rien , invoque9 par Leibniz n'a pas de grammaire. C'est un de9fi que de l'invoquer seulement. On ne saurait dire en effet qu'il n'y a rien, ou mieux peut-eatre, meame si l'e9nonce9 demeure absurde, qu'il y a rien -, sans signifier par le0-meame qu'il y a ici au moins un regard, un corps, quelqu'un. La posture e0 laquelle s'exerce Leibniz est donc celle d'un absolu de la pense9e, dont les enfants savent parfois s'approcher, et dont l'e2ge adulte nous e9loigne, en raison de ses contingences. C'est le ressort du plutf4t que , du mouvement tournant qui fait qu'il y a quelque chose plutf4t que rien -, que Leibniz entend e9clairer dans les Principes de la nature et de la Gre2ce. On sait que Leibniz est chre9tien. Il revendique le possible d'un absolu de la pense9e dans la mesure of9 il place sa pense9e en Dieu. Il se re9clame d'un tel absolu de la pense9e pour affirmer que la Gre2ce, ou le comput divin, ou encore les fulgurations divines, sont causes du fait qu'il y a quelque chose plutf4t que rien. Dum deus calculat, mundus fit. De la radicalite9 de la pense9e leibnizienne

Geschrieben am 18.02.2016 um 19:08